Votre interface web ou mobile peut devenir accessible à tous en respectant quelques règles simples. En vous concentrant sur quelques points, vous prendrez en compte la majorité des handicaps.
Spectre autistique, mal-voyants, malentendants, lecteurs d’écran, dyslexie ou handicap moteur… Voici des posters qui vous rappellent les bonnes pratiques.
Réaliser un site web (ou un n’importe quel support de communication) accessible, c’est notamment faire des choix de couleurs. Le principal critère en la matière est le niveau de contraste entre la couleur de fond et la couleur du texte.
Un site Internet accessible, c’est garantir que tous vos publics pourront facilement visualiser et comprendre les informations diffusées. Mais sauriez-vous expliquer les règles de l’accessibilité en fonction des types de handicap ? Voici un petit rappel sous forme de questions.
Beaucoup feignent d’ignorer les standards en matière d’accessibilité des sites Internet. Nombreux également sont ceux qui en ont une vision très restrictive, limitant l’accessibilité aux handicaps visuels et auditifs.
Internet véhicule son lot d’idées reçues et de clichés et j’ai décidé de m’y attaquer sous la forme d’un dictionnaire, le #dictionnerd. Inspiré du Dictionnaire des idées reçues de G. Flaubert, il répertorie les stéréotypes que nous participons tous à créer et à entretenir, moi compris !
Accessibilité rime souvent avec utilisabilité : une bonne raison de prendre en compte ces quelques règles qui facilitent la lecture pour tous les internautes.
