Le cahier des charges dûment rédigé (et si possible validé par la hiérarchie…), j’en arrive au lancement de l’appel d’offres, ou de la consultation, si l’appel d’offres fait peur. Plusieurs écoles s’affrontent sur les manières de procéder, donc je vous livrerai simplement la mienne…
C’est une étape déterminante que je soigne particulièrement. De la qualité du cahier des charges dépend la réussite du projet. Si la refonte est confiée à un prestataire (c’est le cas que je traite ici), il sera également annexé au contrat. Bref, il ne faut pas se louper ! Voici un modèle, enfin un exemple de contenu, que chacun pourra adopter ou adapter.
De nombreux blogs ou galeries de design web proposent déjà le meilleur des sites Internet anglo-saxons. J’ai eu envie d’exotisme et de faire un tour dans un pays dont j’aime l’extravagance. Visite guidée des agences web russes, à prolonger par leurs portfolios.
Za zdorovie, druzia !
Je reprends dans une traduction, d’autant plus approximative que j’en ai interprété une partie, l’excellent article paru sur sitepronews. Le postulat : un rapport d’analyse statistique, aussi détaillé soit-il, masque souvent les vrais enjeux marketing derrière un site Internet. J’aime la capacité des Américains à se concentrer sur l’essentiel : l’utilisateur. Et quelquechose me dit que certaines questions sont tout aussi pertinentes pour le print…
Calameo ou Issuu, le comparatif et les résultats
Pour lancer un projet de refonte de site Internet (et comme pour la plupart des projets), je commence généralement par établir une fiche projet assez synthétique. C’est d’abord utile pour moi : compléter cette fiche projet, c’est également se poser les questions essentielles.
