Le paysage web est éclaté entre des experts qui chacun prêchent pour leur paroisse, chacun ayant raison mais chacun ne détenant qu’une partie de la vérité. Les rois du référencement ne jugent souvent le contenu qu’à travers le prisme SEO, quand les experts en médias sociaux l’évaluent en fonction de son caractère viral ou non.
L’IFOP vient de livrer la 6e vague de son Observatoire des réseaux sociaux. Au-delà des hausses ou des baisses de popularité par classes d’âge ou CSP, l’étude fait cette année un focus sur les rapports entretenus par les internautes, les réseaux sociaux et les marques. Elle met surtout le fossé entre les stratégies prônées par…
Lire cet excellent billet Les Français et les médias sociaux : une présence passive…
La transformation d’une organisation en entreprise 2.0 ou sociale n’est pas une affaire d’outils. C’est avant tout un changement culturel qui place l’ouverture comme un principe de fonctionnement. L’ouverture facilite la communication, la collaboration et l’innovation. Elle désinhibe les collaborateurs et l’entreprise, puisque l’entreprise accepte le risque et l’échec. Une vision idéale ?
Une récente étude de Weber Shandwick révèle que les responsables de marques (difficile de traduire brand managers) sont conscients de ne pas être au top en ce qui concerne la sociabilisation de leur marque. Il manque à la plupart une réelle feuille de route et une organisation interne adaptée.
Réaliser un site Internet semble devenu très, trop facile. La simplicité de l’outil déteint sur celle de la réflexion, et encourage la paresse intellectuelle. Mais quand les uns envoient un message spam vendant un « Pack Vitrine à 799 € tout compris », il ne faut pas s’étonner que les autres tombent dans le panneau.
Les besoins essentiels des utilisateurs d’un intranet restent la possibilité d’identifier des collaborateurs, d’accéder aux procédures et aux formulaires ou encore de consulter les actualités de l’entreprise.
La gestion d’un projet web comporte en théorie une vingtaine d’étapes. En fonction du contexte, on peut en rajouter ou en passer certaines, voire en inverser mais les grandes phases restent plus ou moins partagées.
Dans la série des #fail, une petite liste illustrée de ce qui ne faut pas faire sur les médias sociaux, notamment :
Sur le web, le contrat de confiance se bâtit sur 8 piliers :
Socialmedia.org vient de diffuser une version mise à jour et augmentée de leur guide de bonnes pratiques. Conçu comme une boîte à outils, ce guide a vocation de servir de base de réflexion pour définir une charte d’usage des médias sociaux pour une organisation. L’accent est mis en particulier sur la transparence des pratiques.
